🔴 Qui sommes-nous ?
Fondée en 2017 par Yvan Haddad – Wajnblum, 100 Rires a pour objet d’aider les gens à se sentir mieux et s’adresse à des personnes souhaitant s’engager dans une démarche ludique et humoristique.
L’association s’appuie sur des techniques de jeu et de rire basées sur le théâtre, le clown et le yoga du rire pour cultiver sa joie de vivre et distribuer un peu de bien-être autour de soi.
100 Rires intervient auprès des particuliers, en entreprise, dans les hôpitaux, maisons de retraite, établissements scolaires… pour améliorer la qualité de vie des personnes, diminuer son stress, renforcer les liens entre les membres d’une équipe, libérer son potentiel créatif, améliorer sa concentration, la confiance en soi…
Chez 100 Rires, le rire est à la portée de tous.
🔴 L’équipe
Yvan Haddad alias Ariel
Il y a 25 ans Yvan se forme à la Comédie, au Théâtre de l’Atelier à Paris, puis aux arts du Cirque sous le chapiteau Fratellini.
Depuis 2018, il est certifié animateur de Yoga du Rire par l’École Internationale du Rire de Corinne Cosseron et anime depuis 2019 un Club de Rire en partenariat avec la Mairie de Meudon.
En 2017, il fonde l’association 100 Rires et crée les maraudes clown avec Apolline.
Pour Yvan, “Le clown de théâtre parle de nous et se conjugue à tous les temps, à toutes les personnes, singulières et plurielles”.
Apolline Guiné alias Zébuline
Apolline débute chez Ciné-Théâtre à Paris et épouse une pédagogie fondée sur la sincérité de l’acteur dans laquelle les improvisations sont la base pour mieux se connaître et nourrir ses personnages. Elle découvre le lâcher-prise chez ARClown et s’intéresse au théâtre participatif. Elle donne des cours dans une école à l’étranger où elle écrit et met en scène ses premières pièces. Depuis, elle joue et enseigne théâtre et clown auprès des enfants comme des adultes. Elle rencontre Yvan en 2019 avec qui elle crée les maraudes clown.
Alain Bouthier alias Probable
Alain débute la pratique du clown de théâtre il y a 17 ans. Sa rencontre avec Gérard Gallego lui permet aussi d’aborder l’univers du théâtre social.
Il continue d’enrichir sa pratique auprès de formateurs tels que Fred Robbe et Vincent Rouche. Il a travaillé et participé avec la compagnie Le Téatralala à des spectacles de théâtre de Franck Magnier notamment au Festival des arts de la rue d’Aurillac.
Il a également pratiqué la peinture et exposé pendant 27 ans.
Garance Legrou alias sPeURm
Amoureuse de la scène et de la comédie depuis son enfance, elle s’investit pleinement dans le théâtre à la fin de ses études. Depuis plus de 20 ans, elle alterne entre comédienne, metteur en scène et pédagogue. Elle crée une compagnie de théâtre d’appartement.
À la même époque, elle suit un premier stage de clown au Samovar et depuis, se forme régulièrement auprès de différents artistes pour enrichir son bagage. Son animal totem, égérie et rôle modèle : la coccinelle de Gotlib.
🔴 Nos valeurs
• L’HUMAIN
Dans les années 70, le Produit était placé au centre, dans les années 90, c’est le Client qui était mis en avant.
Aujourd’hui, l’écologie relationnelle considère l’Humain comme le vecteur de progrès économique.
Chez 100 Rires, nous sommes curieux et ce qui nous attire c’est vous !
Nous allons à la rencontre de l’être humain dans toute sa diversité pour tout ce que cela nous apporte, de belles surprises et parfois des difficultés avec lesquelles il faut composer.
• L’ART
Pour nous, l’art est un moyen de rapprocher les hommes, de transcender nos différences et de les sublimer au profit d’un projet commun. Il ne se réserve pas à une élite et peut être utilisé par chacun de nous pour mieux vivre sa vie et sa relation aux autres.
• L’ENGAGEMENT
Nous avons à cœur que nos actes soient cohérents avec nos valeurs, il est donc important pour nous que nos actions aient un réel impact pour les participants ou les bénéficiaires, directement sur leur bien-être au quotidien ou en leur apportant de nouvelles pistes de réflexion.
C’était donc cela, l’amour ? L’amour, c’était l’inquiétude qui survit a l’apaisement des sens, c’était l’exaspération du sentiment de la solitude humaine jusqu’à l’angoisse. Son corps était parfaitement calme, la bête était assouvie et c’est dans son âme qu’il souffrait donc pour la première fois. Il lui fallait l’odeur de Florence, il lui fallait sentir sous les draps la chaleur de cette femme ; il lui fallait se dire qu’en étendant un bras ou une jambe, il toucherait sa peau et la ferait sursauter. Il fallait qu’il pût se mettre sur son coude , se pencher vers elle et regarder, à la vague lueur que laissaient filtrer les persiennes, ses cheveux en broussaille sur l’oreiller, ses yeux clos, sa lèvre sans fard, ses traits calmés par le sommeil et qu’une pensée secrète rendait mystérieux, sa poitrine qui se soulevait au rythme de sa respiration dans sa jolie chemise de nuit verte ; qu’il pût la regarder silencieusement pendant une heure, en songeant avec éblouissement, comme une mère contemple son enfant convalescent et s’émerveille de le voir en vie : « Tout cela est a moi ! »
"Simon Joyeuse, à dix-huit ans, bachelier tout neuf dans une ville de province, avait eu le désir de faire des études de médecine. Aucune vocation ne le poussait, mais il avait compris que, sil ne quittait pas sa famille pour cette raison honorable, il serait sans doute amené, bientôt, à la quitter plus violemment ; il aimait ses parents, mais vivre avec eux lui paraissait chaque jour plus difficile ; il s'étonnait même qu'une affection si profonde ne lui permît pourtant pas d'accepter la présence continuelle, la vie toujours commune ; le lien se serait brisé un jour, et c'était peut-être pour le garder intact que Simon voulait quitter la maison. Son père et sa mère comprenaient, eux aussi, qu'il était bon que Simon vécût quelque temps loin deux, si même ils ne s'avouaient pas que c'était une mesure de prudence. Avec une clairvoyance assez rare, ils devinaient qu'un enfant est souvent plus près de ses parents sil ne leur parle que par lettres ; ils pouvaient se tromper, c'était une aventure à risquer, mais ils ne manquaient pas de courage, et ils aimaient se sacrifier pour leurs enfants. Simon, aîné de la famille, avait deux frères et deux sœurs."
